Titre : | Le dernier sur la plaine |
Auteurs : | Nathalie Bernard, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Paris : Éditions Thierry Magnier, 2019 |
ISBN/ISSN/EAN : | 979-10-352-0272-9 |
Format : | 358 p |
Langues: | Français |
Résumé : |
« Notre territoire est immense. Nous sommes les Noconis ce qui, en langue comanche, signifie « les Errants ». Toujours en mouvement, nous suivons la transhumance des bisons. La terre est notre mère, le soleil est notre père. Les plaines sur lesquelles nous chevauchons ne nous appartiennent pas, mais notre territoire s'étend à perte de vue. » Ainsi commence l'histoire de Quanah Parker, fils du grand chef Peta Nocona et d'une femme aux yeux clairs. Inspiré de faits réels, ce roman nous entraîne sur les traces de celui qui deviendra le dernier chef comanche à avoir vécu libre sur les grandes plaines américaines.Le destin d'un homme qui s'est battu, sa vie durant, pour tenter de sauver son peuple et sa culture.
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Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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29770 | R BER | Livre | Bibliothèque du Capreau | Romans dès 13 ans | Disponible |
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Visible par tous
Mon coup de coeur de cet été Une lecture rapide que j'ai eu du mal à arrêter tant j'ai été prise par l'histoire passionnante. J'ai aimé suivre ce dernier chef Comanche. Les chapitres sont courts ce qui donne du rythme. Je vous conseille cette belle ballade dans les plaines américaines.
Roman coup de coeur.
"Toujours en mouvement, nous suivons la transhumance des bisons. La terre est notre mère, le soleil est notre père. Les plaines sur lesquelles nous chevauchons ne nous appartiennent pas, mais notre territoire s'étend à perte de vue. Herbe haute, arbustes, rocaille, immense ciel bleu."
Nathalie Bernard nous livre un roman captivant, nous plongeant dans les grandes plaines Americaines des années 1860-1870. L'écriture est brut imagée, très belle.
On voit se dérouler sous nos yeux les scènes décrites dans le livre et on se pare du costume Indien pour un temps.
L'histoire ne peut pas bien se finir puisque la majorité des populations Indiennes ont aujourd'hui disparues, mais on espère une fin différente jusqu'à la dernière page...
Pour comprendre, faire revivre, ressentir. Et que cela ne se reproduise plus...
On aime l'air frais des grandes plaines que l'on ressent en lisant le roman.
Inspirée d'une histoire vraie, à lire, vraiment.